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HI évalue les besoins en réadaptation physique et en santé mentale

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Réadaptation | Santé | Urgence | Afghanistan | PUBLIÉ LE 29 juin 2022
Prothèses fabriquées dans le centre de réadaptation de HI à Kandahar en Afghanistan (photo d'archive)

Prothèses fabriquées dans le centre de réadaptation de HI à Kandahar en Afghanistan (photo d'archive) | © T. Mayer / HI

Plus de 1 000 personnes ont été tuées par un tremblement de terre de magnitude 5,9 dans l'est de l'Afghanistan. HI est sur place pour évaluer les besoins.

Évaluation des besoins

HI envoie une équipe de spécialistes de la réadaptation et de l'urgence pour évaluer les besoins des travailleurs médicaux et des agents de santé communautaires qui s'occupent des survivants en soins psychologiques d’urgence des agents de santé. HI évalue également les besoins en soutien psychosocial des familles et des personnes touchées par le tremblement de terre.

HI évaluera également la situation de 1 500 personnes blessées par le tremblement de terre et coordonnera avec d'autres organisations la fourniture de matériel de réadaptation physique et d'aide d'urgence. L’association analysera les besoins d'orientation vers les centres de réadaptation disponibles de la région pour la fourniture de prothèses et les orthèses.

Un nombre croissant de décès

Plus de 1 000 personnes ont été tuées lors du tremblement de terre de magnitude 5,9 qui a frappé l'est de l'Afghanistan le 22 juin dernier. La majorité des victimes sont des habitants de la province de Paktika, dans les districts de Giyan, de Nika, de Barmal et de Zirok, selon le ministère d'État chargé de la gestion des catastrophes.1 500 personnes ont également été blessées. De nombreuses répliques ont été ressenties ces derniers jours, créant la peur et la panique au sein de la population locale.

Les besoins en abris sont considérables, de nombreuses maisons ayant été endommagées ou détruites. Les infrastructures communautaires ont également été endommagées, limitant sérieusement l'accès à l'eau et créant un risque élevé de maladies transmises par l’eau. L'Organisation mondiale de la santé a exprimé ses craintes quant à une éventuelle épidémie de choléra.

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